Biriséïs Athéna Ioannis, fille de Zacharias Ioannis et d'Asling Ioannis (née Collins) anecdotes son père a une grande notoriété dans le monde politique et est à la tête d'une chaîne d’hôtels de lux à travers le monde qui est basée sur des millions, sa mère, quant à elle, est une neurochirurgienne réputée à Seattle anecdotes parle couramment le grec et l'anglais, maîtrise le français ainsi que le russe anecdotes elle vie sa vie à cent à l'heure, comme quoi la vie n'attend personne et surtout pas elle. c'est un peu son leitmotiv anecdotes elle est à vendre à un prix raisonnable (célibataire) anecdotes elle est bénévole à la SPA de Seattle anecdotes malgré tout elle chérie plus que tout sa famille, les toucher c'est signer son arrêt de mort anecdotes dire que c'est une rebelle est encore faible anecdotes soit elle aime, soit elle déteste, il y a pas de juste milieu anecdotes c'est une nana, certes, mais c'est une fana de la mécanique surtout des voitures anciennes, de collection quoi et est imbattable sur le sujet à en faire jalouser les mecs anecdotes vaut mieux l'avoir dans la poche, conseil comme ça, au passage anecdotes pratique le piano, le violon et sa passion est l'équitation anecdotes très difficile à cerner et même à approcher, Briséïs est très méfiante envers les autres, un peu par peur que l'on se rapproche d'elle par intérêt ou pour lui faire du mal anecdotes elle a peur des sentiments et fuit devant l'engagement, elle est très instable anecdotes on dit d'elle qu'elle est insaisissable, inaccessible car elle n'ouvre pas ses jambes au premier venu, eh oui anecdotes directe, agressive, impulsive, réservée, elle a un très mauvais caractère que peu de personnes parviennent à dompter anecdotes ne peut pas s'empêcher de mordiller sa lèvre inférieur, ce qui lui donne un petit air de gamine anecdotes elle ne supporte pas l'autorité et encore moins les règles anecdotes malgré tout, c'est une jeune fille douce, calme, souriante et très aimable anecdotes elle aime jouer et surtout gagner anecdotes c'est une bordélique organisée et elle s'y retrouve toujours anecdotes elle a encore une âme d'enfant dans le fond et adore passer son temps devant des Disney avec de la crème glacée anecdotes trahie une fois, elle ne pardonne jamais anecdotes adore les jeux vidéo surtout Warcraft et Dark Soul anecdotes elle a besoin de deux Nesquik pour se réveiller le matin et elle est toujours de mauvais poil en sortant du lit anecdotes ses sagas préférées sont Star Wars, Star Trek, le Seigneur des anneaux et Harry Potter ses séries fétiches sont Game of Thrones, Vikings & Esprits Criminels anecdotes trouve sa baignoire très confortable et elle la confond souvent avec son lit lorsqu'elle rentre d'une soirée trop arrosée anecdotes allergique aux fruits de mer anecdotes assez sociale, on peut l'approcher facilement mais toujours avec méfiance anecdotes elle a le cœur sur la main mais celle-ci peut vite se retrouver à la gueule anecdotes elle conduit une Ford Mustang Fastback noire de 1968 anecdotes fume depuis ses quinze ans et l'alcool est son meilleur ami anecdotes est très fidèle en amitié, mais en amour c'est une autre histoire.

 Elle n’avait jamais aimé les Grandes villes. Elle préférait surtout le charme des petites communautés où on se sentait à l’aise, cohabitant avec le calme du monde. Pourtant, Skye fut mise au monde dans une de ces villes qu’elle désapprouve à présent: Athènes, capitale de la Grèce. Ses parents étaient tous les deux tombés amoureux de cette ville dans leur jeunesse: jeune étudiante en médecine, sa mère aimait le stress, mais surtout la proximité culturelle mondiale qu’on retrouvait dans chacune de ses rues. Son père, lui, était émerveillé par la beauté de l’architecture. Sa mère, était issue d’une grande famille d'Irlande. Et comme toute bonne irlandaise, elle aimait les fêtes et faire des rencontres. Toute l’aristocratie irlandaise lui reconnaissait ce don et ce charme: une beauté à l’intellect percutant. Bien que très strict sur les traditions familiales, la famille Collins était aussi connue pour être une des familles les plus militantes pour le droit des pauvres dans la société, ainsi que le respect des animaux et aussi pour sa richesse. Des idéaux qui firent que la belle Asling était elle aussi très marquée par cet idéal, et depuis petite déjà, elle s’est jurée de défendre ses idées. Durant ses études supérieurs, elle déménagea en Grèce et c’est cette nouvelle terre chargée d'histoire qu’elle rencontra son futur mari: Zacharya. Le père de Briséis avait tout de suite été charmé par l’innocence et le franc-parler d’Asling. Lui aussi élevé dans une famille riche, on lui avait donné une éducation très fermé sur la vision du monde, éducation contre laquelle il n’a jamais été pour. Quand il parla pour la première fois avec la belle irlandaise, se fut comme une bouffée d’air frais. Une liberté d’esprit, un rire de cristal: il était tombé amoureux d’elle dès le premier instant où il avait perçut sa voix. Leur histoire commença ainsi, un amour fusionnel dans la villa familiale de celui-ci, où il vivait d’amour et d'eau fraîche.

On connaissait déjà cette famille par l’alliance qu’elle représentait de deux grandes familles mais surtout par la joie de vivre qu’elle dégageait à chaque instant. Déjà petite, Briséis ressentait cette amour familial intarissable autour d'elle. Le visage de ses parents était chaque jour éclairé d’un sourire et il était bien rare les moments de crises, où des vases explosaient au sol. Car ses parents s’aimaient chaque jour un peu plus. Leur vie était chaque jour animé de bonne humeur: son père s’amusait souvent à faire voler les jouets de la petite fille à travers la maison pour qu’il puisse admirer le rire de l’enfant, un rire qui ressemblait comme par magie à celui de sa mère. Zacharya Rhodes était surement le plus heureux des hommes à cet instant précis. Malgré son travail difficile de pilote pour l'aéronaval, il était heureux de voir sa magnifique femme au soir, leur enfants dans les bras, l’accueillant souvent encore vêtu de sa blouse de médecin. L’argent n’était pas un problème, il n’avait à se soucier de rien, excepté le fait de rendre sa famille heureuse. Et, même aujourd’hui Briséis peut en témoigner: Zacharya était un excellent mari et un merveilleux père. Chaque soir, il s’asseyait à côté de son adorable petite fille, qui ressemblait chaque jour un peu plus à sa femme, et lui racontait une histoire devant ses yeux brillants. Étrangement, elle adorait que son père lui raconte l’histoire de ces hommes, ces courageux hommes qui avaient bravés tant d’épreuves pour sauver leurs patries. Et à chaque fois, la petite Briséis demandait la même chose: « Dis Papa, est-ce qu’un jour, je vais pouvoir les rencontrer ? » et comme à chaque fois son père lui répondait qu'elle n’aurait cette chance que si elle travaille bien à l’école. Comment lui dire que tous ses héros sont à présent mort, pour rééquilibrer la balance de la vie ?

Douze ans, sa lettre pour le lycée arriva. Briséis avait attendu ce moment avec impatience: c’était pour elle, le moment de commencer à faire ses preuves et de suivre la même voie que celle de sa mère: devenir chirurgien mais en neurologie. Contre toute attente, le lycée se passa merveilleusement bien. Surtout grâce à une autre fillette: Arya, celui qui deviendrait sa meilleure amie, sa plus grande confidente, son âme sœur. Une amitié fut aussi solide qu’un roc. Inséparable, il était rare d’en voir l’une sans l’autre. Pendant les cours, elles ne pouvaient s’empêcher de rire ensemble. Les disputes ne duraient jamais longtemps entre elles deux, bien trop proche pour s’ignorer plus de deux heures. Malgré son envie incessant de rire, Briséis se révéla être une élève extrêmement talentueuse et surtout très travailleuse. Elle n’oubliait son objectif principale et était poussée par une vraie volonté de feu. Ses camarades l’appréciait beaucoup pour son caractère direct et son intelligence. Il y avait même quelques bruits de couloirs qui s’émerveillaient sur sa beauté. Mais elle n’y prêtait guère attention -enfin c'est ce qu'elle prétextait-.

En dernière année, elle ne se posa même pas de question sur son avenir: la médecine. A l'université, on connaissait surtout Briséis pour être une jeune femme qui n’a pas sa langue dans sa poche: elle détestait voir des élèves être des souffres douleurs d'universitaires sans cerveau, même si il fallait bien l'avouer, malgré son rang, elle se mêlait toujours avec des personnes de classe moyenne comme avec des personnes de classe élevée. Bornée, Briséis n’hésitait pas à tenir tête devant d'autres élèves imbu d’eux même. Beaucoup d’élèves n’hésitaient pas à dire qu’'elle représentait à merveille la flamme de sa confrérie. Futée, espiègle, courageuse et téméraire: elle fonçait tête baissée vers le danger quand un des siens a besoin d'elle et c'est toujours le cas. Mais bien qu’elle fut très nette sur sa vision des imbéciles hautains à l'université, il y en avait qui n’avaient toujours pas saisi cette idée. Aujourd'hui, c'est une jeune femme épanouie dans sa vie professionnelle qui croque le vie à pleine dents, entourée des gens qu'elle aime.